Près de 20 villages abritent une population d'environ 4000 personnes et 10 salles communautaires à l’Isle Madame. Les gens sont très fiers de leurs salles et ils travaillent dur pour s’assurer qu’elles continuent d’être un centre social dans leur petit coin.

Jacqueline Gerroir – Initiative de journalisme local

Cet épisode est le premier d'une série qui explore comment chaque salle communautaire de l’Isle Madame ne servent pas seulement comme centre social pour leur communauté, mais aussi comme soutien culturel et économique et de la santé générale de la région.

Pour notre première discussion, on parle avec des membres de deux salles communautaires au Petit de Grat. Monique Marchand nous rejoint du centre culturel La Picasse et quatre membres de la salle paroissiale de Saint-Joseph : Lucille Samson, Magdelen Samson, Wanda Macdonald et Rose Samson. Elles partagent ce qui rend leur salle communautaire si formidable.

« On offre des services à notre communauté que notre communauté apprécie », explique Magdelen Samson.

En plus, on discute comment leurs rôles ont changé au fil des ans et les défis d’aujourd’hui.

 « Les dernières dix années à la salle du Petit de Grat, on a mis tous nos efforts et tous nos argents pour faire des réparations et puis on a eu beaucoup, beaucoup.  Et on a encore trois quatre qu’on aimerait faire, mais ça c’est un défi pour nous », a dit Rose Samson.

Monique Marchand exprime ce qu’il faut gérer pour assurer le succès de la salle pour les années qui viennent.

 « On a un grand groupe d’âge qu’on a de la misère à rentrer à La Picasse, quand ça vient de trente ans jusqu’à soixante ans […] qui faudrait vraiment qu’on essaie de retirer vers notre communauté, vers notre centre communautaire. »

C’est la première de plusieurs discussions.  La prochaine –  Acadiaville à Arichat Ouest.